Le professeur Olivier Furrer, titulaire de la chaire de marketing Furrer observe en effet une multiplication de ce type d’initiatives. Selon lui, l’explication est simple: «Les Jeux olympiques viennent de s’achever, Noël n’est pas encore là, nous traversons une période assez calme en termes de communication. Cette campagne représente donc une belle occasion de gagner en visibilité sur le marché.» Il précise également que «ces actions relèvent de la responsabilité sociale des entreprises et renforcent leur notoriété.  Cependant, je ne crois pas que l’on puisse parler de pinkwashing, car elles ne se servent pas de la cause pour redorer leur image et n’en tirent probablement pas beaucoup de bénéfices supplémentaires en termes de ventes.» 
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