Enseignement 

Dominik Schoebi,
Doyen

Pour les presque 5’000 membres de notre Faculté, dont la plupart sont des étudiant·e·s, les cours et les séminaires sont les lieux classiques de rencontre. La situation particulière créée par la persistance de la pandémie a ainsi jeté des ombres et des lumières sur l’enseignement dans notre Faculté, et tant les étudiant·e·s que les enseignant·e·s ont été confronté·e·s à des situations parfois très difficiles. Tous les contenus n’ont pas pu être enseignés comme souhaité, et ce sont justement les séminaires, lieux de vie du dialogue scientifique, qui ont été les plus touchés par la phase d’enseignement à distance. Les cours comportant des exercices pratiques et des travaux de recherche sur l’être humain ont également été très compliqués à mettre en œuvre, et les stages plus difficiles à trouver et à effectuer.

De l’importance du présentiel

De nombreuses enseignantes et de nombreux enseignants ont adapté les contenus et les objectifs des cours en conséquence, faisant preuve d’une grande flexibilité. Le fait que nous ayons beaucoup appris au cours de la première année de pandémie et que nous ayons ainsi pu mieux utiliser les diverses possibilités techniques a également joué en notre faveur. Il était néanmoins essentiel que nous puissions recommencer à enseigner en présence au semestre d’automne. En discutant avec toutes les parties prenantes, il est apparu clairement que le besoin d’un échange personnel direct n’avait pas été satisfait et que la volonté de participer en présentiel, même dans des conditions plus difficiles, dominait.

Les difficultés liées à l’obligation d’avoir un certificat pour être admis·e aux cours en présentiel étaient une réalité mais, dans l’ensemble, des possibilités flexibles et créatives ont pu être trouvées dans presque tous les domaines pour offrir à tou·te·s les étudiant·e·s un accès adéquat à l’apprentissage, qu’elles et ils souhaitent ou non satisfaire aux exigences de participation en présentiel. A cet égard, il a été particulièrement gratifiant de constater à quel point le corps étudiant, en particulier, s’est montré constructif et ouvert à la recherche de solutions pertinentes.

Célébrer les diplômes

L’un des événements marquants pour la Faculté des lettres et des sciences humaines a été la possibilité d’organiser en décembre, après une longue pause, des cérémonies de promotion dans l’Aula magna. Fêter l’obtention des diplômes dans le cadre solennel de l’Alma mater et en présence de la famille et/ou d’ami·e·s est une expérience particulière et, pour l’un·e ou l’autre, un rite de passage important. Le fait de se retrouver pour la première fois en présence d’un étudiant ou d’une étudiante à cette occasion, dû à l’ironie de la situation actuelle, n’a pas gâché la joie.

Nouveaux engagements et promotions

Prof. Nadine Amsler
Professeure assistante en histoire

Prof. Andreas Hadjar
Professor für Soziologie, Sozialpolitik und Sozialforschung

Prof. Alix Heiniger
Professeure assistante en histoire contemporaine

Prof. Agnieszka Joniak-Lüthi
Professorin für Sozialanthropologie

Prof. Noëlle-Laetitia Perret
Professeure assistante en histoire *

Prof. Francisco Ramírez Santacruz
Profesor de literatura española e hispanoamericana

Prof. Susanne Schmetkamp
Assistenzprofessorin für Philosophie *

Prof. Petra Vetter
Assistenzprofessorin für Psychologie *

* Modification du statut en 2021